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Appel a soumission

With this Special Issue, we want to provide a platform for scientists to publish their new scientific findings in the area of aortic diseases and complications to further progress this important topic in the field of diagnostics and therapy...

Réponse

Il est souhaitable d’avoir arrêté votre traitement hormonal (pilule, progestérone, etc.) au moins deux mois avant l’intervention, et d’avoir fait enlever votre stérilet.

Avant votre embolisation, un bilan récent de votre fibrome (par échographie, IRM, etc.) et un bilan sanguin doivent avoir être réalisés. De même, une consultation pré-anesthésique obligatoire doit avoir été pratiquée dans les semaines précédant l’intervention (au maximum un mois avant). Cette consultation pré- anesthésique permet notamment de dépister des allergies à l’iode (et ainsi de vous prescrire un traitement préventif spécifique à prendre pendant quelques jours, avant l’intervention) et de contrôler votre bilan sanguin afin de prévenir d’autres risques ou contre-indications (anémie, fonction rénale altérée...).

En outre, vous aurez un entretien avec les différents médecins qui vous suivent afin de discuter des alternatives thérapeutiques et d'être sûr que l’embolisation est le meilleur traitement dans votre cas. Juste avant votre embolisation, vous devez impérativement respecter les consignes suivantes :

les repas : ne mangez plus et ne buvez plus dans les 6 heures précédant votre intervention ;
les médicaments : en général, vous pourrez continuer à prendre vos traitements habituels.

Cependant, vous devez les avoir signalés lors de la consultation pré-anesthésique afin que des instructions précises vous soient données

Réponse

Vous devez aborder ce problème avec les médecins qui vous suivent pour connaître les risques des différents traitements et leur incidence sur la fertilité afin de bien choisir celui qui est le mieux adapté votre cas.

  • Les différentes équipes qui réalisent des embolisations de fibrome utérin ont observé des grossesses chez leurs patientes.
  • Si la méthode de l’embolisation est choisie, il est possible de l’effectuer en injectant moins de microparticules : mais dans ce cas, son efficacité peut être moindre.
Réponse

L’embolisation de fibrome utérin est une technique sûre, même s'il existe quelques risques comme pour toute intervention médicale.

  • Exceptionnellement, la douleur postopératoire est sévère et résiste aux traitements habituels.
  • Un très petit nombre de patientes (environ 1 %) ont une infection urinaire ou vaginale, qui est habituellement traite efficacement avec des antibiotiques.
  • Dans environ 1 % des cas, il y a des atteintes de l’utérus (notamment infectieuses...) qui nécessitent une hystérectomie.
  • Une ménopause précoce fait partie des risques de l’embolisation (elle surviendrait dans environ 3 % des cas), mais elle peut aussi être observée après une hystérectomie.
  • Dans tous les cas, la présence de nombreux spécialistes et d’un équipement adapté sur place vous assure un maximum de sécurité.
Réponse

Quand l’embolisation est pratiquée par un radiologue interventionnel expérimenté cette procédure ne comporte pas de risque.

  • Cependant il peut survenir de rares complications.
  • La complication la plus fréquente est l’infection.
    Si une infection se développe à la suite d’une embolisation il se peut qu’une hystérectomie soit nécessaire, mais bien sûr une telle infection peut aussi bien se développer à la suite d’une myomectomie ou d’une hystérectomie.
  • Pour parer à ce risque, les patientes reçoivent un traitement antibiotique au cours de l’intervention et les infections pelviennes préexistantes devront être traitées avant la procédure.
Réponse

Un radiologue interventionnel est un médecin qui a suivi une formation spécifique pour diagnostiquer et traiter des maladies des vaisseaux avec des instruments miniaturisés introduits dans votre corps et suivis par radioscopie ou par d’autres modes d’imagerie.

  • Les traitements de radiologie interventionnelle sont généralement bien tolérés par les patients. Ils nécessitent de petites incisions non douloureuses et de courtes hospitalisations.
  • Le radiologue interventionnel travaille en collaboration étroite avec tous les autres médecins qui vous suivent de manière à s’assurer que vous recevrez les soins les plus appropriés à votre cas.
Réponse

La « sténose » ou diminution du diamètre de l’artère ( d’au moins 50% ) peut être responsable d’une hypertension artérielle ou d’une détérioration du rein. Ce rétrécissement peut être du à l’athérome (« dépôts graisseux ») ou plus rarement à une dysplasie touchant de préférence la femme jeune. Corriger ce rétrécissement vise à faciliter le traitement de l’hypertension et d’éviter ses conséquences cardiovasculaires ( infarctus du myocarde...) ou cérébrale ( paralysie, hémiplégie.. ).
Le deuxième but est de protéger le rein, surtout si l’autre rein est lui-même détérioré ou n’existe pas ( enlevé pour une tumeur par exemple ). Enfin pour certains problèmes cardiaques, la dilatation rénale permet de faciliter le travail du cœur.

Réponse
  • Les médicaments contre l’hypertension , peuvent associés à deux ou trois pour une meilleure efficacité. La tension doit ainsi rester en dessous de 140/90.Si cela est impossible, la dilatation doit permettre de diminuer les doses ou le nombre de médicaments.
  • Le traitement par la chirurgie est possible. Il s’agit d’une reconstruction avec un pontage utilisant une autre artère, une veine ou du matériel synthétique. Si les résultats sont bons, comparables à la dilatation, la chirurgie présente des risques plus importants, est plus coûteuse et la durée de séjour à l’hôpital est plus longue. Elle nécessite une anesthésie générale. Elle reste utilisée en cas d’échec de la dilatation ou s’il est nécessaire de réparer l’aorte en même temps ( Anévrysme par exemple ).
  • Ni dilater, ni opérer ? les médicaments n’agissent pas sur le rétrécissement de l’artère rénale par l’athérome : il va s’aggraver dans un cas sur deux, pouvant aller jusqu’à ce que l’artère se bouche avec « mort » du rein.
Réponse

Elle nécessite l’introduction dans l’aine ou au pli du coude d’un petit tuyau ou « cathéter » : une ecchymose ou un hématome peut se produire à l’endroit de la ponction. Ils disparaissent en quelques jours ou semaines. La petite taille des nouveaux cathéters fait que les hématomes sont moins nombreux et moins graves.

L’injection dans l’artère de produits à base d’iode peut entraîner des réactions le plus souvent modérées à type d’éruption cutanée ou de nausées fugaces.
Des réactions plus graves d’allergie ( avec baisse de la tension, difficultés respiratoires ..) peuvent nécessiter des gestes de réanimation en urgence. Ils doivent être prévenus par un traitement médicamenteux adéquat. Le risque de complications graves ne doit pas dépasser 1% des dilatations, dans des centres spécialisés. 

Réponse

Une consultation avec le médecin radiologue interventionnel qui vous expliquera le déroulement de la procédure , répondra à vos questions et vous fera signer un « consentement éclairé ».
Une consultation avec un médecin anesthésiste, si nécessaire permettant de contrôler vos examens de sang (fonctionnement rénal ), la radiographie pulmonaire et l’électrocardiogramme.
Vous devez lui signaler vos allergies éventuelles ( iode, aspirine ) afin qu’il vous prescrive un éventuel traitement dans les jours précédant l’intervention. Vous devez rassembler tout votre dossier (écho-doppler, scanner , résonance magnétique nucléaire, artériographie antérieure ) pour l’hospitalisation.

Réponse

Vous serez hospitalisé la veille de la procédure.
Vous serez à jeun dans les 6 heures précédentes.
L’endroit de la ponction sera rasé et une perfusion sera mise en place, pour administrer des médicaments rapidement et efficacement.

La dilatation est réalisée dans un service de Radiologie Interventionnelle. Vous serez installé en position couchée sur le dos, l’endroit de la ponction ( aine ou pli du coude ) est désinfectée et vous serez recouvert de champs stériles. Le médecin « opérateur » est lui aussi habillé stérilement.
Il pratiquera une anesthésie locale.
Une dose d’anticoagulants est injectée .

  1. Le cathéter sera introduit dans l’artère. Sa progression dans le système artériel est indolore et suivie sur un écran de télévision ( utilisation de rayons X.)
  2. Le ballon fixé à son extrémité est facilement repéré par deux marqueurs. Il est ainsi placé au niveau du rétrécissement et gonflé pendant environ une minute avec un contrôle de la pression. Une douleur modérée dans le dos peut survenir à la dilatation et disparaît dès que le ballon est dégonflé.
  3. Si le résultat obtenu n’est pas satisfaisant ou parfois d’emblée , on sera amené à mettre en place un « stent » ou endoprothèse , petit grillage métallique ressemblant à un ressort de moins de 2cm de long et d’un diamètre de 5 à 6 mm.
  4. Une compression manuelle de l’endroit ponctionné est ensuite effectuée pendant un quart d’heure ; certaines équipes « ferment » l’artère avec un dispositif particulier qui permet d’éviter un saignement ultérieur. Vous resterez cependant allongé pendant une période de 6 à 12 heures.
  5. Vous resterez hospitalisé 24 à 48 heures après la dilatation. Un doppler voire un scanner de contrôle pourra être réalisé avant la sortie.

 

Stents utilisés dans les artères rénales
Le stent est positionné sur un ballon et restera accolé à la paroi de l’artère puis définitivement intégré dans celle-ci . Le ballon est lui retiré avec le cathéter. La mise en place d’un stent nécessite de prendre un traitement médicamenteux à base d’autre antiagrégant (Aspirine,…) pour éviter la formation de caillots à son contact, par l’agrégation des cellules plaquettaires du sang circulant. D’autres médicaments peuvent être également prescrits (statine, …)

Réponse

Il se situe entre 95% et 100%

Réponse
  1. Vous serez suivi (e) dans les semaines qui suivent, à 1 mois, puis périodiquement en fonction des résultats obtenus .
  2. Les résultats de la dilatation seront contrôlés par la prise de la tension artérielle . Dans deux tiers des cas d’athérome il y aura guérison ou amélioration, nécessitant la diminution des médicaments anti-hypertenseurs. En cas de dysplasie les résultats sont encore meilleurs avec 90% de succès. Les médicaments antiagrégants seront souvent associés pendant 1 mois puis un seul sera poursuivi à long terme.
  3. L’artère dilatée pourra être contrôlée à distance par écho-doppler le plus souvent, surtout si l’on suspecte une récidive (élévation de la tension artérielle). L’artère pourra alors être dilatée à nouveau et un stent mis en place si il n’y en a pas déjà . Cette récidive survient surtout dans les 3 à 6 premiers mois dans une proportion variable de 10 à 20% suivant les cas. Cette récidive doit être prévenue par des mesures d’arrêt du tabac, un régime. et la prise de médicaments pour le cholestérol